Voici l’histoire de ma vie, j’ai fait des etudes d’ingénieur en chimie et un jour j’ai voulu passer mon doctorat en genie chimique.

Pour ce faire je me suis lancée dans une recherche sur une nouvelle méthode de synthèse du nylon.

Obligée de me rendre en antarctique pour effectuer des essais de synthèse à froid, me voilà embarquée sur un brise glace pendant l’été austral.

Débarquée en terre adélie sur la base de dumont durville par -40 °C, bonjour l’acceuil d’un labo au milieu d’un manteau blanc à perte de vue et de Von Humbolt dessinant le relief.

Déjà très triste d’avoir laissé mon ami en europe, je me sens très seule, mais de suite au traivail pour que le temps passe plus vite et que se profile rapidement la date de mon retour.

Après la monotonie d’hier place à la monotonie de ce jour, les jours passent et se ressemblent seule dans mon labo.

Un soir alors que je suis proche de trouver mon processus de synthèse je suis surprise par un météor tache impressionnante de couleur dans ce dédales de blanc éclairé par la lumière de celui-ci et le noir d’une nuit arctique très froide.

Subjugée par le phénomène, j’endosse mon équipement contre le froid et par à la recherche d’un reste de météor qui me semblait avoir chuté à proximité de mon labo.

En effet après quelques minutes, je retrouve des restes de roches sidérales que je me dépèche d’emporter dans mon labo.

Et c’est là que tout c’est joué, le métor une fois dans mon labo s’est mis a produire une lumière vive que mes yeux ne peuvent supporter, les réactifs de mes essais se mettent à bouillir, réagir, le fioles cassent et éclaboussent tout, une chaleur intense se fait sentir.

Je suis couverte de réactif, le météor quand à lui continnue son travail comme habité par une vie venue du fond de l’espace.

Puis soudain, tout s’arrête, je trouve dans le noir complet, une douleur intense enveloppe tout mon corps, je sens une transformation se produire à la surface de ma peau, le nylon de mes essais fusionne avec celle-ci.

La douleur m’arrache des cris de bête hurlant à la mort, le nylon pénètre toute mes muqueuses jusqu’au plus profond de mon cerveau. Puis plus rien, la douleur est telle que je tombe en syncope et ne me réveille que le lendemain matin.

Je suis complètement nue dans mon labo, lorsque j’entend frappé à ma porte par un collègue et c’est alors que l’incroyable se produit, je me transforme en véritable chasseuse d’homme, vêtue comme par magie de vêtements provoquant, la peau de mes jambes ne se différentie plus du nylon, mes sens sont en ébulition, je suis excitée comme jamais et là j’ouvre la porte……….

 
Depuis je suis Dr Sabine et Miss Clara Nylon